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Les grands sujets de la Bible
F. Gfeller

Le Seigneur sus entrouvre la porte de l’au-de dans le texte de Luc 16. 10-31 concernant le mauvais riche et Lazare, mais il sera donné auxatres de ler plus pleinement ce qui le concerne. dans ce texte de Luc 16, nous voyons une distinction absolue entre le lieu de diction pour le rache et le lieu de tourments pour le chant. Le choix est pourtant laissé à l’homme pendant sa vie, la parole de Dieu lui indiquant quel est le moyen du salut. Dès l’accomplissement de l’œuvre de la croix, la lation devient plus claire. , sur le Calvaire, le Seigneur sus clare au brigand repenti : « En ri, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23. 43).

Envisageant l’approche du terme de sa vie, l’atre Paul dit : « Nousaimons mieux être absents du corps et être présents avec le Seigneur » (Corinthiens 5. 8) ; et encore : « Mourir, un gain… ayant le sir de loger et d’être avec Christ, car cela est de beaucoup meilleur » (Philippiens 1. 21, 23). Le corps retourne à la poussière, il se sagrège au cours desans, mais l’âme qui l’a habi retourne à Dieu, car sonexistence ne pend pas de la matière. L’Ecclésiaste avait dit : « L’homme s’en va dans sa demeure des siècles… la poussière retourne à la terre, comme elle y avait é, et… l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné » (Ecclésiaste 12. 5, 7).

Il fut donné à de nombreux croyants de rester lucides jusqu’au dernier soupir. Le moignage rappor par ceux qui ont assis à leur part est touchant ; il conforte ceux qui restent dans le deuil, car d’avoir vu la joie illuminer le visage de leur bien-ai et de l’avoir entendu prononcer : Seigneur sus ! comme dernière parole, leur donne une grande consolation en pensant à la part nie de celui qui n’est plus avec eux.

La mort, paration de l’âme d’avec le corps, n’est qu’un passage, unétat transitoire. La parole de Dieu affirme avec force la ri de la surrection. « il y aura une surrection, tant des justes que desinjustes » (Actes 24. 15). Le chapitre 15 de la première étre aux Corinthiens traite en sonentier de la ri de la surrection, envisageant surtout celle des croyants ; mais ce thème fera l’objet du prochain chapitre.