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Les grands sujets de la Bible
F. Gfeller

En dehors de la tition fubre de « et il mourut » en Gese 5 (tition interrompue toutefois avec Hénoc qui fut enle pour qu’il ne vît pas la mort après 300 ans de marche avec Dieu), le but de l’histoire de l’homme passe sous silence les sentiments de ceux qui terminent leur vie. À partir d’Abraham alors, nousassistons au part paisible des patriarches qui avaient mis leur confiance en Dieu. Leur sir de reposer dans la caverne de Macla, au milieu du pays promis, laisse entrevoir leur foi en la surrection. L’étre aux Hébreux nous dit qu’ils sont morts dans la foi et qu’ilsattendaient la ci de laquelle Dieu est l’architecte et le créateur. C’est une fin plus que paisible, une fin glorieuse que celle de Jacob : « Jacobadora, appuyé sur le bout de son ton » (Hébreux 11. 21).

Moïse, Josué, Samuel et David ont tous par de leur mort avec une grande ni. Ils mettaient leur confiance en celui qui justifie l’impie et qui ressuscite les morts (Psaume 32 ; Romains 4 ; Psaume 17. 15). Leur foi les rendait capables de discerner les choses à venir, et leurs dernières paroles sont riches d’enseignements prophétiques. Mais il n’enest pas toujours ainsi. Échias, entre autres, met enévidence le voile obscur qui cachait l’au-de, dans sa prière rappore en Ésaïe 38. 11, 18 : « Avec leshabitants du lieu où touta cessé, je ne contemplerai plus l’homme… Ceux qui descendent dans la fosse ne s’attendent plus à ta ri ». Il a fallu la venue de sus et sesenseignements pour écarter un peu ce voile obscur, et l’Esprit Saint nous donne alors, par lesatres, une vue plus claire sur ce mysrieux au-de.