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Le Seigneur est proche

Enfants, n’aimons pas en paroles ni avec la langue, mais en action et en vérité.
1 Jean 3. 18
L’importance de faire de bonnes œuvres

Regardons de plus près la place qu’occupent les bonnes œuvres aujourd’hui, dans la période de la grâce. Il est bien évident que nous ne serons jamais sauvés par de bonnes œuvres. Cependant, celles-ci doivent toujours se voir dans la vie de celui qui est sauvé. D’un côté, Paul nous dit que nous ne sommes pas sauvés “sur la base d’œuvres accomplies en justice que nous, nous aurions faites” (Tite 3. 5), mais selon la miséricorde de Dieu ; d’un autre côté, il nous dit que nous devons être zélés “pour les bonnes œuvres” (2. 14).

Faire du bien ne se limite pas à donner de l’argent. Le seul homme parfait que le monde ait jamais connu était l’un des plus pauvres. Pourtant, il est dit qu’il “a passé de lieu en lieu, faisant du bien” (Actes 10. 38). Ta contribution aux intérêts du Maître sur la terre peut être celle-ci : montrer l’affection d’un cœur plein de sympathie à ceux qui passent par des moments très difficiles, remplis de souffrances.

Bien que donner de l’argent ne soit pas du tout la seule façon de faire du bien, il faut souligner maintenant qu’avec la bénédiction de Dieu, cela peut être, pour ceux qui le peuvent, l’une des méthodes les plus efficaces pour remplir ce service de la bienfaisance. Pour cette raison, Paul dit : “Ordonne à ceux qui sont riches dans le présent siècle… qu’ils soient riches en bonnes œuvres ; qu’ils soient prompts à donner, généreux” (1 Timothée 6. 17-19).

Un jour, un riche fermier avait supplié Dieu d’envoyer une aide matérielle à une famille pauvre habitant dans son voisinage. Cette prière fit beaucoup réfléchir son petit garçon. – Papa, dit-il, tu peux répondre toi-même à ta prière et donner de l’argent à ces pauvres gens, n’est-ce pas ? – Voilà une application poignante de ce passage si important de l’Épître de Jacques : “Si un frère ou une sœur manquent de vêtements et de la nourriture quotidienne, et que l’un de vous leur dise : Allez en paix, chauffez-vous et rassasiez-vous – sans leur donner ce qui est nécessaire pour le corps –, à quoi bon ?” (2. 15, 16).

F.W. Grant

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