1ἀκούω (
akouô[verbe])
<G191><C0193> (436x)|| Écouter, comprendre • Ce terme est employé au sujet d’Hérode (Matthieu 2. 3 ; 14. 1 ; Marc 6. 14 ; Luc 9. 7), des mages (Matthieu 2. 9), d’une voix à Rama (Matthieu 2. 18), de Joseph (Matthieu 2. 22), de Jésus (Matthieu 4. 12 ; Jean 8. 26, 40 ; 15. 15), des Juifs (Matthieu 5. 21, 27, 33, 38, 43 ; 13. 15 ; 26. 65 ; Marc 2. 1 ; 14. 64 ; Luc 2. 18 ; 4. 23 ; Jean 8. 43 ; 9. 32 ; 12. 12 ; Actes 11. 18 ; 28. 27), de Jean le Baptiseur (Matthieu 11. 2), de deux aveugles (Matthieu 20. 30), des pharisiens (Matthieu 22. 34), d’une femme avec une perte de sang (Marc 5. 27), de la mère d’une fille possédée (Marc 7. 25), d’un scribe (Marc 12. 28), du maître d’un esclave (Luc 7. 3), d’André (Jean 1. 40 ou 41), du père d’un fils qui allait mourir (Jean 4. 47), des disciples (Jean 6. 60), de Marthe (Jean 11. 20), des croyants (Actes 1. 4 ; 2. 37 ; 4. 4), d’hommes menteurs (Actes 6. 11), de Jacob (Actes 7. 12), d’Ananias (Actes 9. 13), de Pierre (Actes 11. 7), des nations (Actes 15. 7), des apôtres et des anciens de Jérusalem (Actes 15. 24), des Athéniens et des étrangers séjournant à Athènes (Actes 17. 21, 32), des Corinthiens (Actes 18. 8), des disciples d’Éphèse (Actes 19. 2, 5), de ceux qui demeuraient en Asie (Actes 19. 10), des frères de Jérusalem (Actes 21. 20), du neveu de Paul (Actes 23. 16), des Galates (Galates 1. 13), de Paul (Éphésiens 1. 15 ; Colossiens 1. 4, 9), des Colossiens (Colossiens 1. 23), des douze tribus de la dispersion (Jacques 5. 11), des bien-aimés à qui Jean s’adresse (1 Jean 4. 3), de Jean (Apocalypse 1. 10 ; 4. 1 ; 5. 11 ; 6. 6 ; 9. 13 ; 10. 4, 8 ; 11. 12 ; 12. 10 ; 14. 2, 13 ; 16. 1 ; 18. 4 ; 19. 1, 6 ; 21. 3), de la voix de musiciens (Apocalypse 18. 22a), du bruit de la meule (Apocalypse 18. 22b), de la voix de l’époux et de l’épouse (Apocalypse 18. 23).
3ce qu’on entend : ἀκοή (
akoê[nom fém.] ; de
akouô : voir 1.)
<G189><C0191> (24x)|| Ce que l’on écoute, ce qu’on comprend • Ésaïe demande qui a cru à ce qu’il a entendu de lui (Jean 12. 38 ; Romains 10. 16) ; ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend par la Parole de Dieu (Romains 10. 17 (2x)). Voyant et entendant (litt. : Par la vue et par ce qu’il entendait) des hommes pervers autour de lui, Lot tourmentait de jour en jour son âme (2 Pierre 2. 8).